jeudi 14 septembre 2023

Une presse éphémère : l’imprimerie de la collégiale Saint Victor près de Mayence. (1549)

 Il y a une dizaine d’années, la librairie Paul Jammes, à Paris, avait consacré un catalogue entier aux presses privées installées chez un particulier ou dans une institution religieuse [1]. L’exemple le plus connu de ces presses est celui de la Correrie, dans le monastère de la Grande-Chartreuse, qui fonctionna sous l’impulsion de Dom Innocent Le Masson pendant une vingtaine d’années.

Il en existe bien d’autres, le catalogue réunissait 132 lots, comme cette imprimerie du couvent de St François de Cuburien, près de Morlaix, en Bretagne (1575), l’imprimerie Huguenote de Duplessy-Mornay dans son château de la Forest-sur-Sèvres (1624), les impressions du Chasteau de Richelieu réalisé sous l’impulsion de Jean Desmaret de Saint-Sorlin pour le frère du Cardinal (1653), les productions de l’abbé Gerbert issues de son abbaye de Saint Blaise en Forêt Noire (1758), la Strawberry Hill Press de M. Horace Walpole (1772),  la presse privée de Benjamin Franklin à Passy (1781), l’imprimerie de Du Pont, député de Nemours, en son hotel de Bretonvilliers, Isle St Louis (1791), la presse privée de la Duchesse de Luynes à Montmorency (1800), l’imprimerie particulière de M. Thomassin à Besançon, dont Charles Nodier collectionnait les exemplaires,  etc … Le catalogue y associe même les ouvrages composés avec les nouveaux caractères de Pierre Moreau (1640) car ils sont cités dans le catalogue de Lottin. 

La marque au Pélican de François Behem

L’adresse de Saint Victor près de Mayence

Imprimeries Particulières, Catalogue Paul Jammes, Paris

Auguste-Martin Lottin, imprimeur du Roi, avait fait installer en Mai 1765 une petite presse typographique à Versailles pour enseigner au Dauphin, futur Louis XVI, l’art typographique. Il rédigea ensuite un Catalogue chronologique des librairies et libraires-imprimeurs de Paris (1789) dans lequel une douzaine de colonnes sont consacrées aux imprimeries particulières.

Emmanuelle Toulet [2] nous propose une définition de ces ateliers fugitifs qui fonctionnaient souvent sans privilège ni autorisation du pouvoir royal et sans souci de rentabilité. Ils étaient établis par des personnalités qui n’appartenaient pas au milieu de l’imprimerie et n’avaient pas de compétence technique. Ces personnalités choisissaient les textes, assuraient le financement, réunissaient le matériel nécessaire, l’installaient dans un lieu privé, recrutaient les ouvriers qualifiés, organisaient les opérations et décidaient des tirages, généralement peu élevés.

Ces presses étaient tolérées mais n’avaient aucune existence légale. En France, un arrêt de 1630, qui ne fut pas vraiment appliqué, précisait même que « sa Majesté fait défenses à toutes personnes de quelque qualité et condition qu’elles soient, à tous chefs et supérieurs des collèges, couvents et communautés d’avoir à tenir dans aucune maison particulière … aucunes presses et imprimeries… ».

Bien qu’assorti, pour certains titres, du privilège impérial, c’est à cette catégorie des presses particulières que nous pouvons rattacher une série d’ouvrages religieux parus entre 1540 et 1552, portant tous l’adresse de la collégiale Saint Victor près de Mayence (Allemagne) et pour lesquels, il semble que l’initiateur en ait été uniquement un certain Johan Dobneck, dit Cochlaeus. 

Page de titre du De Haerici de Conrad Braun


La reliure monastique de l'ouvrage, une demie peau de truie estampée.

La collégiale Saint-Victor avait été fondée à la fin du Xe siècle, à Weisenau près de Mayence. Elle disposait déjà de tours et de fortes murailles qui remontaient à l'époque romaine ou au haut Moyen Âge lorsque L'archevêque Baudouin de Luxembourg (1328–1336) la fit fortifier parce qu’elle se trouvaient à l’extérieur de l’enceinte de la ville.

En pleine controverse religieuse et pour remplir son dessein évangélique, la congrégation s’adjoignit un imprimeur de la ville, François Behem, originaire de Meissen, qui transporta ses presses dans l’enceinte de l’abbaye, en 1539. Behem avait un lien de parenté avec Cochlaeus puisque son épouse était la nièce de celui-ci. [3]

Saint Victor pouvait s’enorgueillir d’un célèbre précédent en matière typographique car parmi la liste des membres des confréries rattachées à son chapitre figure le nom d’un certain Johannes Gensfleisch zur Laden zum Gutenberg. [4]

Cette imprimerie eut une activité soutenue jusqu'au 28 Aout 1552, année où l'abbaye, avec toutes ses dépendances, fut pillée et détruite par le margrave Albert II Alcibiade de Brandebourg-Kulmbach pendant la Seconde guerre des Margraves, ce conflit qui opposa les princes luthériens et catholiques du Saint Empire et qui finit par la paix d’Augsbourg en 1555. La Collégiale ne sera jamais reconstruite, mais le chapitre fut déplacé le 21 octobre 1552 à la collégiale Saint-Jean à l'intérieur des murs de Mayence.

François Behem dut alors transférer son atelier typographique à l'intérieur de la ville, dans la maison au Mûrier. Il ne put reprendre son activité qu'en 1554 et il était encore actif en 1572. De nombreux exemplaires des livres imprimés à l’abbaye brulèrent ou furent dispersés au moment du pillage, d’où la difficulté d’en trouver aujourd’hui.

8ème imprimeur de Mayence dans l’ordre chronologique, après Gutenberg, Il avait obtenu, après le décès d'Yves Schoeffer, le neveu de Johannes Schoeffer, associé de Gutenberg, le privilège impérial exclusif, que ce dernier et ses prédécesseurs avaient eu, avant lui, d'imprimer les ordonnances impériales et les procès-verbaux des diètes de l'Empire.

Il était très habile dans son art et ses productions sont très soignées. Il employa plusieurs marques typographiques, dont celle au Pélican est la plus connue et la plus spectaculaire. Un Pélican qui se sacrifie pour ses petits, symbole du Christ, avec la devise Sic His Qui Diligunt. (Comme pour ceux qui aiment).


Quelques exemples du travail de François Behem

Les années 1545-1550 ont été celles d’une intense production pour l’abbaye sous l’impulsion de Johan Cochleaus qui édita, mis en forme ou commenta pas moins d’une vingtaine de titres au cours de ces années, essentiellement des textes visant à défendre la Saint Eglise catholique contre les hérétiques de tous bords, Luthériens, Hussites, Donatistes, Iconoclastes, dans un contexte de réaction à la Réforme protestante et à l’occasion du Concile de Trente qui avait débuté en 1545.

En voici une petite liste, non exhaustive, tirée de la Chronologie des Anciennes Impressions de Mayence [5] et du catalogue de la BNF :

Johannes Cochlaeus, De Autoritate et Potestate Generalis Concilii Testamonia XXX solida ac merito irrefragabilia, etc… Moguntiae F Behem 1545 ; opuscule de 46 ff. n.ch.

Statuta et Decreta Synodi Dioces. Argentorat. Moguntiae F Behem, 1546 in-Fol. Statuts émanant de l’évèque Erasme de Limbourg.

Johannes Cochlaeus, De Autoritate et Potestate Generalis Concilii Testamonia XXX solida ac merito irrefragabilia, Mogunt. Ad D Vict. Impr. Per Franc Behem, 1546. Seconde edition in-8.

Johannes Chrysotomus Mess auf Teutsch, Meynz F Behem 1546 in-4

Georgius Wicelius Form und Anzeigung Form und Anzeigung, welcher gestalt die heilige, apostolische, und catholische Kyrche Gottes, vor Tausent mehr oder weniger jaren, in der gantzen Christenheit ... Meyntz, Frantz Behem, 1546 in-8.

Jo. Cochlei Commentaria de actis et scriptis Mart. Lutheri chronographicè ab anno 1517. ad annum 1546. Apud S. Victorem prope Moguntiam 1549. In-fol.,

Johannes Cochlaeus, Joannis Calvini in acta Synodi Tridentinae Censura et eiusdem brevis confutatio Apud S. Victorem prope Moguntiam, ex officina Francisci Behem Typographi, 1548, opuscule de 40 ff. que Jean Cochlée adresse à Erasme Strenberg, chanoine de Trente.

Catalogus brevis eorum quae contra novas sectas scripsit Joannes Cochlaeus Apud S. Victorem prope Moguntiam : per F. Behem , 1548

De Caeremoniis capitula tria D. Con. Bruni,... e tribus ejus libris I, III, et VI, excerpta. Apud S. Victorem, per F. Behem , 1548

Breve D. Conradi Bruni,... Introductorium de haereticis, e sex libris ejus excerptum... tribus capitulis comprehensum (autore Johanne Cochlaeo) Apud S. Victorem Moguntiae : per F. Behem , 1548

De Legationibus capitula tria D. Conradi Bruni,... excerpta e libro ejus secundo, cap. IX, X et XI (Francisci Behem studio)" Apud S. Victorem, per F. Behem , 1548

Un curieux recueil de 99 ff. Domine aperi oculos istorum ut uidebant, toujours de l’infatigable Cochlée et dédié à Philippe, évêque de Spire.  A la fin on lit : Apud S. Victorem prope Moguntiam excudebat Franciscus Behem, Die 30 martij 1548.

De imaginibus liber D. Conradi Bruni ... aduersus Iconoclastas.. S. Victorem prope Moguntiam, Aout 1548

Speculum antiquae devotionis circa missam et omnem alium cultum Dei, in-fol., Apud S. Victorem extra muros Moguntiae : ex officina F. Behem , 1549

Historiae Hussitarum Libri Dvodecim Cochlaeus, Johannes, Apud S. Victorem prope Moguntiam, 1549

De Interim brevis responsio Joan. Cochlaei, ad prolixum convitiorum et calumniarum librum Joannis Calvini (1549) Apud S. Victorem prope Moguntiam : excudebat F. Behem, 1549

Commentaria Joannis Cochlaei de actis et scriptis Martini Lutheri,... chronographice, ex ordine, ab anno... 1517 usque ad annum 1546... conscripta, adjunctis duobus indicibus et edicto Vuormaciensi...in-fol, Apud S. Victorem prope Moguntiam : ex officina F. Behem , 1549

L’ouvrage qui illustre cet article : D. Conradi Bruni,... libri sex de haereticis in genere. D. Optati Afri episcopi quondam Milevitani libri sex de Donatistis in specie, nominatim in Parmenianum, ex bibliotheca Cusana. Plura D. Bruni opera utpote de seditiosis libri sex, de calumniis libri tres, de universali concilio libri novem... Apud S. Victorem prope Moguntiam, ex oficina Francisci Behem Typographi, 1549.

Martini Cromeri oratio in synodo Cracoviensi nuper habita... (In lucem edidit J. Cochlaeus.) In-8° , 28 ff. Moguntiae : ex off. F. Behem , 1550.

Je mentionne pour l’anecdote un petit opuscule qui se distingue de cette production presque uniquement dédiée à la Contre-Réforme : Bergellanus (Joannes Arnoldus). De Chalcographiae Inventione poema encomiasticum (Moguntiae) cum privilegio Caesareo, 1541. C’est un poème de 11 feuillets à la gloire de la nouvelle invention typographique, dédicacé au Cardinal Albert, Electeur de Mayence, dont la page de titre représente trois imprimeurs au travail [6]. On lit au colophon : Moguntiae, ad divum Victorem, execudebat, Franciscus Behem.

Jean Cochlaeus au Lecteur

La plupart de ces titres, produits à l’abbaye, associe le nom de Cochleaus. Johan Dobneck, (dit Cochlaeus - enroulé en spirale ! - selon le surnom que lui donnèrent ses condisciples humanistes), est né en 1479 à Raubersried près de Nuremberg (Franconie) et il est mort en 1552 à Breslau, actuelle Wroclaw (Pologne). Il fut d'abord un pédagogue, recteur d'une des écoles de Nuremberg et auteur de divers manuels sur la grammaire, la musique, la nature. C'est d'ailleurs à ce dernier titre qu'il se révèle original, introduisant la philosophie de la nature dans le cursus préuniversitaire, avec sa Meteorologia et sa Cosmographia. 

Malgré une certaine sympathie pour les positions luthériennes du départ, notamment la critique de certains abus de l'Église, très vite et avant les autres, Cochlaeus vit dans le Réformateur de Wittenberg une menace pour la paix sociale, l'unité de l'Église et la civilisation des lettres que représentait l'humanisme. Le parti pris favorable envers Luther se maintint jusqu'à la Diète de Worms en 1521 où il lui fut donné de le rencontrer et de se mesurer à lui. A partir de là, Luther devint l'adversaire à abattre, incarnation du mal à éradiquer par tous les moyens que la controverse et la polémique mettait à sa disposition. Le pédagogue, revenu prêtre de son voyage à Rome, et gradué de l'Université, se lança dans le combat de la défense de l'Église catholique à laquelle il se consacra jusqu'à la fin.

Le Traité contre les Hérétiques de Conrad Braun (ou Conrad Bruni, 1491-1563) est un parfait exemple des productions de Saint Victor. Braun est un juriste, il a enseigné le droit public à l'université de Tübingen en 1521 et publié plusieurs ouvrages juridiques consacrés au Schisme, aux coutumes et aux ambassades. Ce traité contre les hérétiques, divisé en six livres, se présente comme une suite de six monographies sur le thème de l'hérésie : quid est de haereticorum moribus, quid est de malis et impietatibus, quid est de remediis, quid est de iudiciis, quid est de poenis haereticorumt.

Les pièces liminaires de Cochlaeus sont une nouvelle occasion de critiquer les sectes maudites (c’est-à-dire les protestants) qui, à son avis, rendent incertain l’avenir de l’Allemagne et oppose à leurs protagonistes (tels que Luther et Melanchthon), que Cochlaeus qualifie d’ennemis de l’Eglise et d’auteurs d’écrits pestilentiels, la saine doctrine de Braun ainsi que sa piété et son honnêteté. Cochlaeus et Braun se connaissaient personnellement ; ils s’étaient rencontrés probablement en 1540-1541, à l’occasion d’un débat sur les questions religieuses à Worms [7].

Le Traité d'Optat de Milève en deux exemplaires reliés ensemble. 

Un des filigranes du papier.

Le second ouvrage, rattaché au traité de Conrad Braun et annoncé au titre, est le traité des 6 livres contre les Donatistes par Saint Optat de Milève. Il est déjà considéré comme très rare au XIXème siècle. Les catalogues anciens notent que cette pièce se trouve très rarement à la suite du Traité des Hérétiques et Clément, dans sa Bibliothèque Curieuse Historique, fait le commentaire suivant : "Monsieur Meermann qui a acquis les ouvrages de Conradi Brunus m’écrit avec raison qu’ils sont fort rares et très estimés des Curieux et qu’on les joint ordinairement aux Ecrits de Jean Colchée. Il remarque en particulier sur ce traité que l’ouvrage d’Optatus Milevitanus ne se trouve pas dans son exemplaire, ni dans les autres qu’il a eu entre les mains, et il conclut que le contenu ne répond pas au titre. J’ai trouvé le même défaut dans notre Bibliothèque Royale ; et je crois que le Traité d’Optatus Milevitanus s’est vendu séparément, parce qu’il a son titre particulier et qu’il a la forme d’un livre singulier, ou que quelques personnes l’auront joint aux ouvrages de Colchée parce que c’est à ce dernier que nous en sommes redevables, comme on le verra dans un moment. Quoiqu’il en soit, il existe à la suite de l’exemplaire de M. Brunemann et porte le titre Optati Milevitani …. " [8].

L’histoire n’a pas retenu la raison pour laquelle, dans mon exemplaire, le texte d’Optat de Milève, dont il est dit partout qu’il est rarement relié à la suite du texte de Bruni, a été relié ici en deux exemplaires identiques, à la suite l’un de l’autre….

Il est possible que la reliure de cet ouvrage ait été aussi fabriquée dans le Monastère par les moines de St Victor car c’est un exemple typique des productions monastiques du Saint Empire : Une demie peau de truie estampée à froid avec réutilisation pour les plats d’un manuscrit du XIVe ou XVème siècle. Les moines devaient avoir à disposition un stock important de manuscrits sur place et chacun des cartons est donc constitué d’une quinzaine de feuillets d’un manuscrit collé les uns aux autres. Cette opération, sacrilège pour un bibliophile d’aujourd’hui, a eu pour avantage de sauver un important fragment de ce livre (pas moins de 64 pages !) alors qu’on ne sait pas ce qu’il est advenu des autres manuscrits, sans doute brulés avec la bibliothèque de l’abbaye.

Bonne Journée,

Textor


Le Petit-Séminaire de Saint-Nicolas du Chardonnet (disparu vers 1900) photographié par Atget, d’où provient l’exemplaire présenté, remplacé aujourd'hui par la Maison de la Mutualité.



[1] Catalogue intitulé Presses privées. Imprimeries particulières et secrètes.

[2] Emmanuelle Toulet, Imprimeries privées françaises (XVe – XIXe siècles), choix d’ouvrages tirés de la collection du duc d’Aumale. Exposition présentée dans le Cabinet des livres du Château de Chantilly en 2002.

[3] Dans l’une de ses lettres, datée du 28 avril 1548, Cochlaeus dit au sujet de ce typographe : cui uxor est neptis mea, cf. Buschbell 1909, p. 815.

[4] cf Bruderschaftsbusch St. Viktor, Hessisches Staatsarchiv, Darmstadt Abt. C1 D, Nr. 35, fol. 7’, fol. 12’, cité par Karin Emmrich, St. Viktor bei Mainz, der römische Pfründenmarkt und der frühe Buchdruck – Klerikerkarrieren im Umfeld Johannes Gutenbergs qui précise que la signature autographe de Gutenberg a été prélevée pour être gardée dans des archives spécifiques.

[5] In le Messager des sciences historiques de Belgique ..., Gand, 1842, Volume 4 p. 124 ;

[6] Cité par Prosper Marchand (p 11-17) dans son Histoire de la Typographie.

[7] Voir Braun, Guido. « Les cinq livres sur les ambassades » de Conrad Braun In : De l’ambassadeur : Les écrits relatifs à l’ambassadeur et à l’art de négocier du Moyen Âge au début du xixe siècle [en ligne]. Rome : Publications de l’École française de Rome, 2015 pp.

[8] Encore aujourd’hui la Bibl. de l’Université de Berkeley note : The additional works by K. Braun called for on t.p. do not appear in this and most other copies, except BM. Leur collation en [28], 358, [18], 69, [3] pages parait erronée car la marque d'imprimeur est à rattacher au premier ouvrage (Signatures : a*⁶, b*⁸, A-2G⁶, *⁸, [2d]A-F⁶.) Tandis que le nôtre se présente comme suit :  [28], 358, [2] - [16], 69, [2], [16], 69, [1]   pages ; - Signatures : a*⁶, b*⁸, A-2G⁶, *⁸, A-E⁶ F5.


 

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